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Textes inspirants
Auteur : Josiane  
17/37

Date :    04-02-2025 10:54:04


ACCEPTATION DU CHEMIN DE L’AUTRE.

Il est venu le temps de laisser les autres, amis, conjoint, enfants, avancer à leur rythme, sans te sentir coupable de ne pouvoir les réveiller, de ne pas les amener à voir qu’une autre façon de vivre et de penser existe.

Tu ne connais pas le choix de l'âme de l'autre, qui est différent du tien.

Rien ne t'oblige à chercher à sauver l'autre, même si tu sais que son âme est belle. Autorise-le à être ce qu'il choisit.

En voulant sauver l'âme de l'autre, tu rentres dans le triangle infernal, tu es encore victime de la responsabilité que, seul, tu t'es imposée.

Lâche le contrôle sur l'âme des autres, que cela soit tes enfants, ton entourage.

Chaque âme a un processus à faire, un chemin d'évolution choisi, et s'il ne correspond pas à tes désirs, laisse-les vivre ce qui est nécessaire à leur âme.

Lâche le contrôle.

En voulant amener l'autre à prendre le chemin de la lumière, qui te semble, à toi, bon, tu n'acceptes pas le choix de son âme, tu ne la laisses pas vivre son expérience.

Libère-toi, maintenant, de toutes obligations de sacrifices, de soumissions, envers les autres, en avançant seul s'il le faut, en étant plus dans l'acceptation de son unicité.

Il est temps de purifier les obligations que tes parents, la société, toi-même ont mises en place et qui font partie de ta vie.

Tu n'es pas obligé de vivre et de côtoyer des personnes toxiques pour toi.

Il n'y a aucune obligation à rester dans le sacrifice de ta vie pour sauver les autres.

Ce n'est pas ta responsabilité.

Ne te sens plus dans l'obligation d'être bien tout le temps, de dire oui à tout, d'accepter de ne pas prendre du temps pour toi.

Tu as créé cette situation, prends conscience de cela et, si on ne valorise pas ta présence, laisse-les profiter de ton absence.

Il est temps de te sevrer de la dépendance des obligations, de libérer tous les contrats, toutes les promesses que tu as faites par obligation inconsciente.

Laisse ton âme et celle des autres vivre ce qui est à vivre pour chacun.

Monique Damel . La Voie de l'Etoile.
Auteur : Josiane  
18/37

Date :    06-02-2025 23:12:30


J’ai réussi
J’ai aimé
J’aime

"Réussir, ce n'est pas toujours ce qu'on croit.
Ce n'est pas devenir célèbre,
Ni riche ou encore puissant.
Réussir, c'est sortir de son lit le matin et être heureux
de ce qu'on va faire durant la journée,
Si heureux qu'on a l'impression de s'envoler.
C'est travailler avec des gens qu'on aime.
Réussir, c'est être en contact avec le monde et communiquer sa passion.
C'est se coucher le soir en se disant
qu'on a fait du mieux qu'on a pu.
Réussir, c'est connaître la joie,
la liberté, l'amitié et l’amour.
Je dirais que réussir, c'est Aimer.."

Romy Schneider❤️
Auteur : Josiane  
19/37

Date :    11-02-2025 09:31:26


« Au fond de l'hiver, j'ai enfin appris qu'il y avait en moi un été invincible. "- Albert Camus

Auteur : Josiane  
20/37

Date :    12-02-2025 23:47:29


Si tu as du mal à te défaire d'une personne manipulatrice, c'est que certainement tu continues de réagir à ses interactions.

En cela elle sent qu'elle a du pouvoir sur toi, une emprise. C'est jouissif pour elle. C'est ce qu'elle recherche au delà de tout. Grâce à cela cette personne se sent forte, puissante.

Il n'y a qu'une seule chose à faire dans ces situations là : l'ignorance totale. L'indifférence.

Tu sais, une personne manipulatrice ne peut rien faire contre quelqu'un qui refuse de jouer à son jeu.

Le pire cauchemar pour une personne manipulatrice c'est d'être ignorée.

Il n'y a rien de pire effectivement pour elle de voir que tu ne réagis pas à ses manigances, à ses tentatives d'accroche.

Ton silence et ton indifférence sont terribles pour elle, elle qui se sent si forte et unique, indispensable et irremplaçable.

Ton silence, ta distance, ton indifférence sont insupportables.

La personne manipulatrice s'effondre car elle sait qu'elle n'est rien à tes yeux.

Elle a tout tenté. Les flatteries, les compliments, les félicitations, les menaces, les attaques, les médisances. Mais plus rien ne passe, plus rien n'agit, plus rien ne fonctionne.

Tu t'es renforcé(e). Tu n'as aucun besoin d'approbation et de validation de sa part. Tu as de l'estime pour toi-même. Tu es ancré(e). Tu as confiance en toi. Tu n'as pas besoin d'elle dans ta vie.

Tu vibres haut. Elle vibre bas.

Tu es lumière. Elle est est ombre

Elle est prisonnière. Tu es libre.

Marie Chauderon
marie-chauderon.fr
Auteur : Josiane  
21/37

Date :    27-02-2025 09:35:45


"Notre devoir le plus impérieux est peut-être de ne jamais lâcher le fil de la Merveille.
Grâce à lui, je sortirai vivante du plus sombre des labyrinthes."
- Christiane Singer - Derniers fragments d'un long voyage -
Auteur : Josiane  
22/37

Date :    02-03-2025 11:25:42


" Dans ce monde qui se dessèche, si nous ne voulons pas mourir de soif, il nous faudra devenir Source." 💙

Christiane Singer
Auteur : Josiane  
23/37

Date :    05-03-2025 03:59:46


Je n’oublierai jamais ce jour où ma mère m’a forcée à aller à une fête d’anniversaire, lorsque j’étais en troisième année. Un après-midi, je suis rentrée de l’école avec une invitation légèrement tachée de confiture.

— Je n’irai pas, ai-je déclaré. C’est une nouvelle, elle s’appelle Ruth. Berni et Pat n’y vont pas. Elle a invité toute la classe. Les trente-six.

Ma mère fixa l’invitation faite à la main avec une étrange tristesse. Puis elle annonça d’une voix ferme :

— Eh bien, tu y iras. Demain, j’irai acheter un cadeau.

Je n’en croyais pas mes oreilles. Jamais ma mère ne m’avait forcée à assister à une fête ! Cela me tuerait, c’était certain. Mais aucune crise de larmes ne la fit changer d’avis.

Le samedi arriva, et elle me tira du lit pour que j’emballe le cadeau : un joli set de brosse, peigne et miroir, d’un rose nacré, qu’elle avait trouvé pour moins de trois dollars. Puis elle me déposa devant la maison de Ruth dans sa vieille voiture jaune.

Ruth ouvrit la porte et me guida à travers l’escalier le plus raide et le plus effrayant que j’aie jamais vu. Lorsque nous franchîmes enfin l’entrée, je me sentis soulagée. Le parquet brillait sous la lumière du soleil inondant la pièce. Les meubles, anciens, étaient recouverts de housses d’un blanc immaculé. Et sur la table trônait le plus grand gâteau d’anniversaire que j’avais jamais vu. Neuf bougies roses y étaient plantées, entourées d’un « Joyeux anniversaire, Ruthie » maladroitement écrit et de ce qui ressemblait à de petits bourgeons de roses en sucre.

Tout autour du gâteau, trente-six tasses de chocolat chaud, chacune marquée d’un prénom.

« Ce ne sera pas si terrible une fois que les autres arriveront », me rassurai-je.

— Où est ta maman ? demandai-je à Ruth.

Elle baissa les yeux.

— Elle est un peu malade.

— Ah. Et ton papa ?

— Il est parti.

Un silence pesant s’installa, troublé seulement par quelques quintes de toux derrière une porte fermée. Quinze minutes passèrent. Puis dix de plus. C’est alors que l’horrible vérité me frappa : personne d’autre ne viendrait.

Comment allais-je m’échapper ?

Alors que je me perdais dans mes pensées, un bruit discret me ramena à la réalité : des sanglots étouffés. En levant la tête, je croisai le visage de Ruth, ravagé par les larmes. Mon cœur d’enfant se serra. Une vague de tendresse pour Ruth et de colère contre mes trente-cinq camarades égoïstes m’envahit.

D’un bond, j’enfonçai mes chaussures vernies dans le sol et proclamai avec force :

— Qui a besoin des autres, après tout ?

Ruth, d’abord surprise, me regarda avec un éclat nouveau dans les yeux.

Nous étions là, deux petites filles de huit ans, face à un gâteau à trois étages, trente-six tasses de chocolat fumant, des litres de soda rouge, trois douzaines de sacs de cotillons, des jeux à jouer, des prix à gagner.

Nous attaquâmes le gâteau en premier. Ne trouvant aucun allumette et ne voulant pas déranger sa mère, Ruthie (elle n’était plus seulement Ruth, elle était devenue Ruthie) fit semblant d’allumer les bougies. Je lui chantai un joyeux anniversaire pendant qu’elle soufflait sur des flammes imaginaires.

Le temps fila en un éclair. À midi, la voiture de maman klaxonna devant la maison. Après avoir ramassé tous mes souvenirs et remercié mille fois Ruthie, je me précipitai vers la voiture, débordante d’enthousiasme.

— J’ai gagné tous les jeux ! Bon, en vrai, Ruthie a gagné celui de l’âne à la queue, mais elle a dit que l’enfant qui fête son anniversaire ne peut pas garder les prix, alors elle me l’a offert. Et on a partagé les cotillons : moitié-moitié. Oh, et elle a adoré son set de toilette, maman. J’étais la seule… La seule de toute la classe de troisième année !

Je brûlais d’impatience à l’idée de raconter aux autres tout ce qu’ils avaient manqué.

Maman s’arrêta au bord du trottoir et me serra fort contre elle.

— Je suis si fière de toi, me dit-elle, les yeux pleins de larmes.

Ce jour-là, je compris qu’une seule personne pouvait changer les choses. J’avais transformé le neuvième anniversaire de Ruthie. Et maman… maman avait changé ma vie.

Un seul geste peut bouleverser une existence. Tout comme nos vies peuvent être touchées, nous avons aussi le pouvoir d’influencer celles des autres.

Avez-vous déjà songé à l’impact d’un simple sourire ? À quel point une expression chaleureuse peut illuminer une journée, tandis que l’indifférence ou le mépris peuvent briser un cœur ?

Nous vivons dans un monde de relations, où chaque geste compte. La bienveillance est une semence précieuse : parfois, elle ne nous est pas rendue, mais cela ne doit jamais nous détourner de ce que nous sommes. Si quelque chose nous blesse, essayons de le changer ; si nous ne le pouvons pas, éloignons-nous, mais ne nous laissons pas contaminer par la négativité.

Nos actions, nos choix, peuvent être une lumière dans la vie des autres.

Et la plus belle chose au monde, c’est de changer une vie… pour le meilleur. Remplacer les larmes par des sourires, la solitude par la chaleur, le rejet par l’acceptation, la haine par l’amour.

Le monde littéraire
Auteur : Josiane  
24/37

Date :    08-04-2025 08:20:54


J’AIME LES MOTS.
J'aime les mots qui disent, qui expriment une émotion, une expérience, un ressenti, pas les mots qui font naitre le doute, qui effacent et rabaissent celui qui est en face, qui polluent, qui n’expriment que le vide, l’inutile.
J’aime les mots qui élèvent, qui donnent à réfléchir, qui apportent un soulagement, un encouragement, qui viennent du cœur en étant doux, pas ceux qui « cassent » et détruisent l’intégrité.
J’aime les mots qui délivrent le corps de sa rigidité en me positionnant. En formulant avec clarté mes besoins, j’évite de l’acidifier, de lui faire du mal par des mots que je retiens et qui le bloquent. Je préfère les mots qui me rendent libre.
J’aime les mots qui sortent du silence en exprimant ma vérité tout en respectant celle de l’autre.
J’aime les mots qui réveillent celui/celle qui dort sur des principes obsolètes, des conditionnements par peur, des fantômes qui n’ont aucune place dans la vie réelle et freinent l’avancée vers qui l’on est.
J’aime les mots, ils permettent de communiquer, de faire passer un message, d’apaiser et d’éclaircir une situation, de rétablir un lien vers la guérison de l’être, vers l’ouverture d’une conscience claire et libérée du spectre du « non-dit ».
Monique Damel. La Voie de l'Etoile.

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