Toujours d’après Monsieur Cyrulnik
Il y a une grande inégalité de souffrances et dans la résilience
Ce qui fracasse l’un peut faire sourire l’autre
Avant le traumatisme il y a des inégalités pendant le traumatisme et après aussi
Avant le trauma il y a des facteurs de protection ou de vulnérabilité acquis durant la petite enfance
Pendant le trauma il y a des inégalités
Il y a des trauma sur aigu comme une explosion un attentat un accident une perte d’emploi une séparation un
Divorce
Et des traumas insidieux vécus au quotidien
Des insultes le mépris quotidien
Mal parlé
La précarité sociale
La pauvreté
Un enfant qui a vécu dans la violence va s’habituer à cela et n’a pas conscience du trauma
Celui qui a appris à parler ni trop ni trop peu
Qui a appris le tour de paroles des l’enfance va développer plus facilement la résilience
Va être un adulte agréable à aider
L’enfant qui a développé des facteurs de vulnérabilité va plus facilement avoir peur de parler, peur de se mettre vite en colère et la craindre , va avoir peur de ne pas savoir gérer ses émotions
Les traumas peuvent se mesurer sur le cerveau voire créer un disfonctionnement
Les traumas peuvent aussi créer du déni qui empêche la résilience
On se dit bon c’est fini tout ça
et bien bon ce n’est pas fini!
Il est vraiment résiliant après un trauma de trouver et chercher du soutien de sortir de l’isolement et de chercher et trouver le sens
Comprendre donne un degré de liberté
La manière de donner sens modifie la manière de ressentir et libère aidant à se remettre à vivre
Bonne résilience!
Josiane
Article que j’ai écris inspire d’une masterclass de monsieur Cyrulnik
❤️💚